arcOpole PRO GPV Guide Utilisateur
Les trois fonctions encadrées sont présentes par défaut.
Figure 15 : Fonction
« Administration »
Figure 16 : Fonction
« Ltools »
Ltools est un utilitaire intégré au serveur ArcOpole PRO GPV destiné aux
opérations suivantes :
Pour chacune de ces
opérations, vous avez la possibilité de :
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Consulter le détail de l’opération. |
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Sauvegarder l’opération. |
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Exécuter l’opération. |
Un guide
spécifique est disponible pour le module LTOOLS : AOP-GPV
Guide Utilisateur Ltools.docx
Ces filtres
s’appliquent sur toutes les couches. Plus précisément, ces filtres essaient de
s’appliquer à toutes les couches présentes de la carte, à chaque vue tableau, ….
(Voir Chapitre 2.1.3.2 Filtres globaux).
Dans
certaines fiches, sur certains champs il y a des listes de valeurs qu’il faut
pouvoir administrer. Cette action Lexiques n’est pas accessible à tout le
monde. Il est possible de compléter cette liste en rajoutant des lexiques et
des valeurs.
Figure 17 : Fonction
« Lexique »
Comme
« Lexiques », cette action n’est pas accessible à tout le monde, il y
a donc une notion d’administration. Certains éléments pilotés au niveau du
client Web se sauvegardent. Quand on fait un filtre, on peut l’enregistrer, il
viendra donc s’ajouter à une table « Ressources » regroupée par type
de sauvegarde : « Filtrer », « Annotations » (dessins
sur la carte pour identifier un espace de travail, ajout de texte, …).
Pour la
plupart des éléments enregistrés, il y a deux notions : privée et
publique. Par défaut, quand on enregistre un filtre (ou une annotation), il est
associé au profil utilisateur. Les utilisateurs qui ont accès à la table
« Ressources », peuvent rendre publiques certains éléments qui ont
été enregistrés.
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Pour la
plupart des éléments enregistrés, il y a deux notions : privée et
publique. Par défaut, quand on enregistre un filtre (ou une annotation), il
est associé au profil utilisateur. Les utilisateurs qui ont accès à la table
« Ressources », peuvent rendre publics certains éléments qui ont
été enregistrés. Il suffit pour cela de cocher la case « Public »
(encadrée en rouge ci-dessous).
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Supprime l’enregistrement sélectionné. |
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Télécharge le contenu de la ressource. |
Notion de synoptique : je prends une route, je l’étire et je fais une représentation horizontale de la route. Un synoptique est constitué d’un certain nombre de couches. Les utilisateurs vont pouvoir afficher un synoptique déjà paramétré, sur quel axe le visualiser et la portion de l’axe correspondant au synoptique (Exemple ci-dessous encadré en rouge).
Chaque couche présente dans mon synoptique a une représentation particulière (thématique couleur, annotation, hauteur, etc…).
Les deux actions « Conception » et « Studio représentations » sont sécurisées. Tous les utilisateurs n’ont pas le droit de créer des synoptiques et de les administrer. L’utilisateur ayant les droits aura la possibilité de :
► Créer un nouveau synoptique en
s’appliquant sur des blocs existants ;
► Créer un nouveau synoptique avec de
nouveaux blocs.
C’est ici
que nous pouvons concevoir des synoptiques à partir de représentations
thématiques précédemment créées dans le studio des représentations (Point
2.7.2.3.).
En résumé,
un synoptique est un ensemble de blocs, chaque bloc étant un ensemble de représentations
(ou couches).
► Un synoptique est composé d’un ou de plusieurs blocs ;
► Un bloc est composé d’une ou de plusieurs représentations. Une représentation est une thématique sur une rubrique ;
► Un synoptique a un nom. Lors de la sauvegarde, il est classé dans une catégorie ;
► Un synoptique est privé (visible uniquement par un utilisateur) ou public (visible par tous) ;
► La sécurité géographique éventuellement définie s’applique sur le synoptique.
La ligne vierge correspondante est créée dans le synoptique. Un bloc du
même nom est automatiquement créé. Pour visualiser la représentation vous devez
sélectionner une route :
Sélectionner le bloc. Il se met en surbrillance jaune. Sélectionner une deuxième rubrique et cliquer sur le bouton rafraichir.
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Cliquer sur « Bloc » puis « Sauver ». |
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Vous pouvez modifier le nom du bloc et sa représentation (couleur de fond et contour). Cliquer sur « Bloc » puis « Paramétrer ». |
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Une nouvelle interface apparait. A noter que la case à cocher « Voir même sans données » vous permet de contrôler l'affichage du bloc sur une route. ►
Si cochée : si aucun
enregistrement n'existe sur la totalité de la route, le bloc reste ► Dans le cas contraire, le bloc disparaît tant qu'aucune donnée ne correspond aux critères des représentations du bloc (ce comportement peut-être intéressant dans le cas de la portée Bande de roulement). |
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Cliquer sur « Bloc » puis « Ajouter nouveau ». Indiquer son nom. Il apparait vierge sous le bloc précédemment créé. |
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Pour intégrer des représentations dans ce
bloc, le sélectionner (surbrillance jaune) puis « Ajouter
représentation ». |
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Cliquer sur « Synoptique » puis « Sauvegarder ». Lors de la sauvegarde, les synoptiques sont classés par catégorie. Si une catégorie existe, la sélectionner puis donner un nom au synoptique. Si vous voulez créer une nouvelle catégorie, entrer son nom puis donner un nom au synoptique. |
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Par défaut, les blocs et les synoptiques créés sont privés. Pour les rendre public, cliquer sur « Synoptique » puis « ouvrir ». |
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Faire glisser le synoptique choisi (ici « Prog ») de « Mes documents » vers « Documents publics ». Faire l’opération inverse pour rebasculer le synoptique de « Documents publics » vers « Mes documents ». |
C’est dans
le studio que l’on va paramétrer les représentations (ou couches) de chaque
rubrique. On peut définir autant de représentations (ou couches) que l’on
souhaite.
! Vous pouvez d’ailleurs faire un bloc par thème (1 bloc par catégorie par exemple : référentiel routier, dépendances vertes, chaussée, etc…).
Chaque rubrique peut avoir 1 à n représentations.
Figure 18 : Studio de création de représentations
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Paramétrage des représentations. |
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Liste des thèmes et des représentations
associées. |
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Sélectionner une rubrique et cliquer sur « Ajouter ». Vous pouvez alors commencer le paramétrage de la représentation. |
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Sélectionner la représentation à supprimer puis cliquer sur « Supprimer ». |
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Permet d’activer la représentation sélectionnée pour éventuellement la modifier. Double click a la même action. |
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Dès que la représentation est enregistrée celle-ci apparait dans l’arborescence et est disponible pour la conception du synoptique. |
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Permet de copier une représentation. |
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Hauteur en pixel que prendra la rubrique dans le bloc. |
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Cocher cette case si vous souhaitez utiliser la représentation dans un synoptique destiné à la saisie sur le terrain. Ce choix ajoute le paramétrage des valeurs qui seront proposées à l’utilisateur sur le terrain. Sélectionner la variable qui devra être renseignée par l’utilisateur sur le terrain (Type dans l’exemple). Entrer les valeurs possibles de saisie (AGGLOMERATION et LIEUX-DITS dans l’exemple).
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Cocher cette case si vous souhaitez décomposer, dans la hauteur de la représentation, les valeurs en fonction du champ regroupé :
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Plage d’affichage de 0 à 25 000 m
Plage d’affichage à partir de 25 001 m Par défaut, la même représentation sera utilisée pour tous les niveaux de zoom dans le synoptique. Pour avoir des représentations différentes en fonction du niveau de zoom, cliquer sur le bouton + pour ajouter une plage. |
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Par défaut, tous les éléments de la rubrique seront affichés. Vous pouvez appliquer un ou plusieurs filtres sur l’objet. ! Des filtres pourront également être appliqués par l’utilisateur via
le centre de pilotage. |
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Précision sur le filtre Module :
Ce filtre peut s’appliquer uniquement sur des variables numériques. Il permet de limiter l’affichage tous les x valeurs. Par exemple : De 0 à 25 km tous les PLO de type PR sont affichés :
A partir d’un affichage supérieur à 25 km, on affiche uniquement 1 PR sur 5. Indiquer un modulo 5 sur le champ d’ordonnancement des PLO :
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Il existe trois types de forme pour les objets linéaires :
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Histogramme : Permet d’appliquer des histogrammes, soit en fonction d’une constante (dans ce cas le rectangle ne varie pas), soit en fonction d’une valeur relative, soit en fonction d’une règle (détail ci-après). |
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Ligne centre histogramme : Dessine une ligne qui relie le centre de chaque histogramme entre eux. |
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Ligne contour histogramme : Dessine une ligne qui suit le contour de chaque histogramme. |
Vous pouvez définir un alignement de l’objet dans le bloc du synoptique. Il existe trois positions (haut, milieu, bas). Vous pouvez également définir la position en Y.
Dans cet exemple, la représentation sera positionnée à 50 pixels du bas du cadre.
Il est important de dissocier la hauteur du cadre définie en amont dans les paramètres généraux de la hauteur de la représentation. Voici une illustration pour mieux comprendre les deux paramètres de hauteur.
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Exemple 1 : forme en histogramme et valeur constante. |
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Exemple 2 : valeur relative en histogramme : Dans l’exemple, on veut représenter les largeurs de chaussée en fonction de la valeur du champ largeur : ► Valeur Min > Correspond à la hauteur minimale de l’histogramme ; ► Valeur Max > Correspond à la hauteur maximale de l’histogramme ; ► Ensuite, il faut spécifier la variable que l’on utilise pour la représentation de la rubrique, puis lui attribuer par exemple un multiple. Dans cet exemple, on décide que la hauteur de l’histogramme est comprise entre 5 et 90 et est relative à la variable Largeur de l’objet. On multiplie la valeur par 5 : |
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Exemple 3 : Application d’une règle. Dans cet exemple il s’agit d’appliquer une hauteur différente selon le trafic TMJA. |
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Pour le remplissage vous avez la possibilité d’appliquer une couleur unique ou d’appliquer une ou plusieurs règles. Nous allons détailler chaque situation. Exemple 1 : Application d’une couleur constante. Vous pouvez choisir la couleur et l’opacité de la représentation. |
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Exemple
2 :
Application de règles pour le remplissage. Il faut choisir la variable que l’on
souhaite représenter. Ensuite il faut ajouter une ou plusieurs règles et
choisir une couleur de remplissage et une opacité pour chacune d’entre elles. |
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Pour les contours, vous pouvez choisir l’épaisseur du trait, le style du trait (ligne, pointillé ou tiret) et la couleur du trait : |
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► La labellisation va créer un texte qui sera affiché sur la représentation. Pour créer plusieurs lignes, cliquez sur le bouton + ;
►
L’info-bulle dispose de paramétrages
avancés : police, format, couleur, alignement. Vous pouvez également
formater une infobulle sous la forme :
Vous pouvez paramétrer une URL dans
l’infobulle. Cela peut être une URL fixe (ex : http://monserveur/lanceur.htm)
ou une URL avec adresse variable. Pour créer une URL, cliquer sur le bouton 
puis entrer l’adresse :
Vous pouvez indiquer les localisations des éléments d’une représentation. Cette localisation peut se faire en PLO+ abs ou en Cumul.
Cocher texte pour paramétrer la localisation :
► Choix entre un type de localisation : localisation en PLO + abs ou localisation en cumul ;
► Choix de la taille, de l’orientation, de la couleur et de la position en Y du texte ;
► Choix de mettre en place une ligne de rappel ;
► Choix de l’épaisseur couleur et type de ligne.
Cette option permet, dans la même représentation, de créer autant de lignes que de valeurs distinctes.
Dans cet exemple, les travaux seront ventilés par rapport au champ « Date de travaux ». La représentation dans le synoptique sera :
Case à cocher « Garder les données sans enregistrement » :
Si cette case n’est pas cochée, l’application construit une ligne pour toutes les valeurs distinctes de la route qui sera sélectionnée.
Si cette case est cochée, l’application construit une ligne pour toutes les valeurs distinctes.
Le séparateur vertical permet de créer un trait vertical sur la représentation à l’endroit d’un enregistrement. L’intérêt est d’avoir un bon repérage visuel. Le séparateur est souvent utilisé pour les points de localisation. Vous avez la possibilité de propager ce trait à l’ensemble du synoptique.
Il est possible de rendre visible ou non le symbole. Ce paramètre sert lorsque l’on souhaite par exemple n’afficher que les étiquettes. Ensuite vous avez le choix de paramétrer soit un symbole constant, soit d’appliquer une règle de représentation. Nous allons détailler les deux possibilités.
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Exemple 1 : Mise en place d’un symbole constant. Cliquer sur \répertoire d’installation\Geomap-Imagis\ Arcopole\Route\web\Components\ synoptic\ support\img |
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Exemple 2 : Mise en place d’une règle
pour afficher un symbole différent selon la valeur de la variable. |
Il est possible de paramétrer la taille du symbole de trois manières :
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Constante : tous les symboles auront la même taille. Si vous cochez la case « Garder la dimension initiale du symbole » les images ne seront pas redimentionnées lors des zoom dans le synoptique. |
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Relative : la taille du symbole variera par rapport à la valeur contenue
dans un champ numérique. |
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Règle : permet de créer des classes de taille. Le bouton
« Générer » permet de faire une classification automatique basée
sur les valeurs distinctes. |
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Vous pouvez appliquer un angle de rotation à
votre symbole, depuis l’onglet Rotation.
Celui-ci peut être constant, relatif à une variable ou encore suivre une à
plusieurs règles. Le paramétrage est similaire au point précédent sur la
dimension du symbole. |
Le fonctionnement est identique à celui des rubriques linéaires. Vous disposez de quelques paramétrages supplémentaires.
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► Les paramètres de décalage x et y permettent de décaler le texte du symbole pour une meilleure lisibilité. ► Le paramètre « Position » permet de justifier le texte : Haut, Centre, Bas. |
Le fonctionnement est identique à celui des rubriques linéaires.
Le paramètre « Alignement » permet de justifier le texte : Haut, Centre, Bas.
Permet d’afficher la distance entre deux symboles.
► Position Y > Permet de positionner le texte par rapport au bas de la représentation ;
► Choix de la taille du texte ;
► Choix de la couleur du texte ;
► Alignement des différentes distances ;
► Angle de rotation du texte.
Dans certains cas, créer des représentations peut être long et fastidieux, notamment sur les objets à portée Bande de roulement avec génération.
Pour améliorer cette difficulté, vous disposez d'un outil disponible sur les représentations. La représentation de départ servira de modèle pour la symbolique, l'étiquetage, etc….
Clic droit sur une représentation :
Une nouvelle interface apparaît :
► Bouton créer : crée les représentations ;
► Bouton Fermer : ferme la fenêtre et recharge la page si nécessaire ;
► Sous couche de génération : uniquement si une génération est déclarée sur l'objet. Une modification entraîne une mise à jour du tableau ;
► « Toutes » cochée : les générations de 1 à x sont calculées ;
► « Toutes » décochée : seule génération x est générée.
Exemple de cas concrets suivant le paramétrage de votre représentation de base :
► Exemple 1 : si votre objet est de type portée bande de roulement avec de la génération, vous aurez l'interface qui montrera pour la génération courante et projet toutes les bandes de roulement existantes dans le sens de l'axe et inverse de l'axe.
► Exemple 2 : si votre objet est de type portée sens de circulation sans génération, vous aurez deux générations proposées sens axe et sens inverse. Il n'y aura pas d'entête pour générer les générations.
► Exemple 3 : si votre objet est de type portée bande de roulement et que vous avez de la génération et que la représentation de base est regroupée sur le champ BDR, l'interface montrera les représentations dans sens axe et inverse sur génération courante et projet.
